Nous profitons de cette belle journée de printemps pour gravir cette majestueuse montagne de la St Victoire, nous montons par le tracé noir qui demande quelques pas d'escalade mais sans difficultés .
Juin : Pompage de la Foux de st Anne
La bendola
Aout : La Coume Ournède
Octobre : La Dent de Crolle
Novembre ; Scialet Robin
Nous profitons de cette belle journée de printemps pour gravir cette majestueuse montagne de la St Victoire, nous montons par le tracé noir qui demande quelques pas d'escalade mais sans difficultés .
Bec de L'Orient -Signal de Nave
Le pas de la Clé
Bec de l'Orient avec vue sur le pas Brochier
La cheminée
Traversée de la réserve des hauts plateaux
Col de Rousset - Corrençon
Partis du col de Rousset, nous suivons le GR 93 en passant par les crêtes jusqu'au pas des Econdus, puis nous contournons la Tête du Faisan, direction la cabane de Pré Peyret.
Nous passons dans un vallon derrière la Tête de la Graille où se trouve une carrière romaine.
Bivouac à côté de la fontaine des Bachassons.
Le lendemain, départ pour le Grand Veymont, 2341 m. Dans la montée, nous rencontrons un troupeau de bouquetins.
Après avoir admiré le panorama au sommet, nous descendons par le Pas de la Ville, puis retour vers les hauts plateaux où nous prenons le GR 91.
Nous faisons le plein d'eau à la fontaine de Lachau, dernière source avant Corrençon.
Nous sortons du GR pour dormir à la cabane de Tiolache du Milieu .
Une table, deux lits, un poêle dans cette cabane isolée au milieu de la prairie.
Le lendemain, départ vers 8h 30, nous suivons le canyon des Erges et ses lapiaz.
Après le Pot du Play nous traversons la plaine de Darbounouse et ses moutons
Au puits des Ravières, nous passons le 45° parallèle, une petite bière au refuge de Clariant. Les premières gouttes de pluie nous accompagnerons pendant une heure jusqu'à Corrençon où nous attendons Didou qui doit nous récupérer.
Nous nous installons au camping de Saint Martin en Vercors où il continuera à pleuvoir toute la nuit et toute la journée de dimanche.
Sentiero degli alpini Monte Toraggio Monte Pietravecchia
Dimanche 24 juillet
Participants: Denis, Cat et Jean-Marc
Lors du tour de la Bendola en mai 2010, nous avions envisagé de revenir pour faire la partie Italienne du sentiero degli alpini.
Départ 7h 45 des casernes de Marta, nous suivons le sentier de la haute route des Monts Ligures en passant par le col Bertrand, le col de la Valette sous un ciel rempli de nuages.
Nous passons au col de l'Incise par le coté français et direction le Mont Toraggio, magnifique vue sur la Bendola.
Après le Col de la Dragurine, nous repassons côté Italien, rapidement nous nous retrouvons dans le brouillard et revoilà le col de l'Incise et ses interminables lacets que nous descendons.
Pour contourner le Mont Pietravecchia, le sentier est taillé dans la roche et le brouillard est toujours présent et ne nous lâchera pas jusqu'au retour à la voiture vers 16h 45, dommage pour le point de vue et l'adrénaline !
Jm
Dimanche 3 Avril
Participants : Cat, Denis, JMarc
Nous partons de Robion et après avoir un peu cherché l'itinéraire pour rejoindre le pied de la falaise,
nous arrivons à la chapelle grotte Saint Trophime, nous montons l'ébouli qui mêne au départ de la grande vire, puis par des passages rocheux plus ou moins aériens nous rejoignons le sommet à 1660 m.
Après une petite pause repas, nous prenons le chemin de retour qui nous fera redescendre à 850 m d'altitude du coté de Castellane. Puis nous suivons le sentier du tour de la montagne de Robion en direction de la Basse de la Doux 1151m, ensuite après une redescente vers la ruine de Fonpuge, nous remontons vers la Basse de Taloire 1148m, et enfin retour vers le hameau de Robion.
Une belle ballade par une journée ensoleillée malgrès un retour un peu long et monotone après la Basse de la Doux.
JMarc
Dimanche 3 Avril
TOUR DU BEC DE SORMIOU
Participants : Christiane, Didier M, Didier C, Alain, Dédé (olives), Hervé , Laure, Christine (GAS).
Avec ce beau temps nous décidons d’aller dans les calanques faire une rando/escalade repérée par Didier et Christiane : le tour du bec de Sormiou. Arrivés au col, nous nous équipons et commençons la progression qui alterne rappels, passages en vires, marche et escalade.
Après une petite hésitation au niveau de l’itinéraire, nous trouvons le bon passage. Christiane passe devant. Les chaines qui équipaient la vire ont été enlevées, il faut donc faire sans !!!
Les paysages sont magnifiques et certains passages très aériens.
Alain assure Christiane, puis le reste de l’équipe suit.
La descente du bec, d’où la vue est magnifique.
Un rappel pour se rapprocher un peu de la mer.
Didier assure Christiane qui grimpe en tete. Nous étions seul jusque là, mais maintenant nous commençons à croiser du monde.
Après le repas, une bonne sieste au soleil dans un creux de rocher…
La progression devint plus facile avant d’atteindre une grotte sous marine très jolie mais au sol glissant…
Un bout de sentier, puis nous rejoignons la plage qui est déjà pleine de monde.
Une bien belle journée.
Laure
Népal du 29/10/2010 au 19/11/2010
Le Stupa de Bodnath dans le quartier Tibétain à Kathmandou
Larja bridge
Moulins à prières à Namche Bazar 3440 m
Ama Dablam 6812 m
Un pont plus modeste à Dingboche 4410 m
Moraine au dessus de Chhukhung vers 4990 m
Paroi de neige et de glace
L'Everest et le Nuptse 7855 m vu du Kala Pathar ( 5550m)
Sagarmatha pour les Népalais, Chomolungma pour les Tibétains.
Mt Everest 8848 m
Montée au Renjo Pass 5360m
Lac de Gokyo et Everest vu du Renjo Pass
Thamo 3493 m
MALE VESSE-REFUGE DE L'ESTROP
3 OCTOBRE 2010
Participants : Didou
Flower
Jean-Marc et Cat
Fin d'après-midi, samedi, Didou et Flower nous rejoignent à Rocbaron et nous voilà partis, direction Digne puis Prads Haute-Bléone pour un bivouac à coté du Lac des Eaux Chaudes.
Réveil, le dimanche matin vers 7 h. Tourne-vire, nous décollons à 8 h 45. Il fait beau et nous partons d'un bon pas, Didou en tête, bien sûr, c'est bon pour son moral, sur la piste qui longe le lac vert des Eaux Chaudes alt: 1200 m. Nous traversons l'arrivée du canyon de Male Vesse. Sur la gauche, un cairn avant les ruines d'Espelisse, nous indique le sentier à gravir. Peu de temps après, nouvel embranchement, à gauche, deux cairns, à droite un cairn.
Grâce à notre ami, Jam's, nous laissons la gauche qui mène au départ du canyon Male Vesse aval, et prenons la sente bien raide à droite jusqu'à la cabane de Troumille.
Le chemin se redresse encore jusqu'à une arête équipée de cordes (Pas de l'Arête).
C'est aérien, c'est beau, tout autour, des montagnes, à perte de vue.
Nous prenons la direction des crêtes de la Basse, passons à côté de la cabane du même nom. La montée est rude et nous tirons un peu la langue ! Sur la gauche, tout en bas le fameux canyon de Male Vesse.
Le temps de grignoter un peu et nous voilà repartis, une crête, une autre.
Didou commence à râler : "on ne lui laisse pas assez d'avance" et ce qui devait arriver, arriva, nous l'apercevons loin derrière.
Enfin nous atteignons le point culminant de la balade 2603 m.
Nous basculons de l'autre côté et attaquons la descente un peu vertigineuse, toujours en arête, vers les crêtes de Chabrières, 2532 m, point de départ de Male Vesse amont : pour les canyonistes, il faut partir droit dans la pente (raide) en direction d'un petit arbre et de là rejoindre le haut de la cascade de 112 m !
Nous quittons les arêtes, cherchons un coin pour déjeuner au soleil, à l'abri de vent, puis direction refuge de l'Estrop, 2050 m.
Didou et Flower, infatigables, délaissent le sentier pour descendre un petit canyon sec qui arrive jusqu'au refuge.
Bière pour les uns, café pour les autres et il faut repartir car il est déjà 16 h.
Au passage, nous admirons la superbe cascade de la Piche.
La descente est jolie, variée, et il nous faudra presque 3 h pour revenir aux voitures, et retirer enfin avec délice, nos chaussures !
Nous reprenons la route, des images plein la tête de cette fantastique rando.
SOMMET DES MONGES
11 septembre 2010
Participants : Jean-Marc et Cat
Partis de Rocbaron le matin même, nous voici à Sisteron. Nous prenons la route de la Motte du Caire. 4Km avant, nous bifurquons vers Clamensane puis prenons la petite route qui mène à Reynier. De là, nous empruntons la piste qui monte à Baudinard (1106 m). Où allons-nous nous garer dans ce petit village en cul de sac ? Heureusement, un couple sympathique nous accueille et nous laissons le camion en contrebas de leur maison.
Il fait un temps superbe, idéal pour la rando.
Sacs sur le dos, bâtons en action, nous voilà partis en direction du sommet des Monges (2115m). Le sentier serpente le long d'un ruisseau, puis grimpe dans la forêt jusqu'au lac des Monges (1544 m).
Ce lac est superbe, un petit paradis, avec ses roseaux, ses poules d'eau, son calme. Nous décidons d'y faire notre pause déjeuner. C'est là qu'une jolie surprise nous attend : un renard vient quémander des miettes de notre repas.
Mais il faut laisser là notre nouvel ami et continuer notre chemin, car le sommet est encore loin. Nous suivons donc le sentier à travers bois et là, nouvelle émotion, deux sangliers déboulent devant nous et tracent tout droit dans la pente.
Sortant du bois, nous apercevons la suite de notre itinéraire, droit sur la crête.
Et oui, ça grimpe, et ça grimpe même très raide, jusqu'au sommet de Costebelle (2111 m). Mais que c'est beau !
De crête en crête, nous arrivons jusqu'au sommet des Monges. Panorama à 360°. Au loin, nous apercevons le Pelvoux, la face sud des Ecrins.
Nous commençons la redescente en suivant les crêtes jusqu'au Col de la Croix de Veyre, puis jusqu'au Col de Clapouse.
De là, nous décidons de pousser jusqu'au Refuge du Seignas, jolie petite cabane accueillante où un bivouac pourrait être prévu.
Remontée jusqu'au Col de Clapouse au milieu des moutons, et retour vers le lac des Monges.
Afin de pas revenir par le même sentier, nous décidons de suivre le GR 6 sur la crête de Maladrech, puis la crête de Pinée, avant de redescendre sur Baudinard. Mais la route est longue et nous accélérons le pas.
Nous arrivons pratiquement à la nuit, vers 20 h 30, un peu fatigués. Le gîte de Baudinard nous tend les bras et nous ne résistons pas longtemps. Nous y serons seuls (capacité d'accueil : 12 personnes).
Quelle est bonne, la douche ! Un bon repas et au lit pour un repos bien mérité.
22-23-24 mai 2010
Le tour de la Bendola en 3 jours
Participants :Cat et Jean-Marc
1° jour de Saorge au col de Sanderau
Samedi 22 mai 2010
8 h : les sacs sont prêts depuis la veille au soir. On charge tout dans le « trafic » et en route pour Saorge.
Quelle chance, sur place, une superbe place pour se garer. Et nous voilà partis. Un peu lourds, les sacs ! Trois jours de rando en autonomie, ça se sent sur les épaules…
Nous franchissons une première fois la Bendola au pont de Baoussoun et commençons à gravir le sentier rive gauche.
Après 3 h de marche, le ciel s’obscurcit. Nous passons au pied du Mt Agu, et traversons le Bois Noir.
L’orage et la grêle nous font presser le pas jusqu’à une cabane bienvenue où nous décidons de déjeuner en attendant que revienne le soleil.
Allez, c’est bon, nous pouvons repartir. Ce qu’il grimpe ce sentier ! De vallons en arrêtes, d’arrêtes en vallons, nous poursuivons notre chemin.
En face de nous, sur le versant opposé, nous devinons le chemin du retour. Tiens, nous arrivons sur une piste. C’est le col de Muraton où nous devions dormir. Mais des niçois venant d’Italie se garent devant nous. Dépités, nous continuons notre chemin. Dire que nous marchons depuis 6 h ! 200 m de dénivelé plus haut, nous atteignons le Col de Sanderau (1327m) où nous allons passer la nuit.
Nous nous installons près d’un blocos. Un peu sinistre l’endroit, mais les abris…. ce sont des blocos. Nous sommes à la frontière italienne et la montagne est truffée de souterrains. Jean-Marc installe notre tente parapluie et nous déballons notre dîner. Au menu : soupe (ça va) et hachis-parmentier déshydraté, franchement à déconseiller ! Qu’importe, au lit, une dure journée nous attend demain.
2° jour du col de sanderau au Balcon de Marta
Dimanche 23 mai 2010
Il fait beau. 8 h 30, départ. Tiens, un peu douloureuses, les épaules. Mais le sentier est toujours aussi joli, très escarpé.
La végétation se raréfie hormis des milliers de fleurs, crocus, gentianes, coucous… Nous suivons le sentier à flanc de montagne qui nous mène au Col du Corbeau à partir duquel nous passons versant italien, pour rejoindre le pied du Mt Torrage (1821 m).
De là, nous dominons le vallon de la Nonorasque et le vallon du Brever. Moins d’arbres, mais plus de nuages. Et c’est la pluie, la grêle. Bah, ça va passer …Une fois bien trempés, nous décidons de nous équiper : pantalon et veste étanches. Bien sûr, la pluie s’arrête. Nous rechargeons nos batteries (petit encas et plein d’eau) à la Fontaine Dragurine.
Nous continuons notre ascension, passons le pas de l’Incise (1684 m)
puis nous nous arrêtons pour déjeuner (au soleil) au pied du Mt Peïrevieille (1909m). Nous repartons….sous la pluie.
Nous continuons notre périple humide en croisant le départ du canyon de la Bendola que nous traversons un peu plus haut pour prendre la direction des anciennes casernes.
La moitié du contrat est rempli ! Pause, puis plein d’eau aux Casernes. Le soleil revient. Avons-nous encore une petite forme ?
Pourquoi ne pas continuer encore un peu, la journée de demain sera moins longue. Direction Balcon de Marta où un abri (2100m) nous attend au cas où… Et oui, ça monte en encore… mais doucement. Pourtant les jambes se font sentir.
Hum, pas terribles les alentours de l’abri. Nous consultons le ciel. Pas de risque de pluie cette nuit. Nous redescendons jusqu’à une plateforme d’où nous dominons la vallée de la Bendola et nous pouvons suivre des yeux, en face le chemin parcouru. Installation de la tente et repas. Les pâtes bolognaises passent mieux que le hachis-parmentier !
3° Jour du balcon de marta à Saorge
Lundi 24 mai 2010
Après une nuit un peu ventée, lever sous le soleil.
Jean-Marc, un peu inquiet sait qu’aujourd’hui il faudra naviguer au pif (et au GPS). Pas de sentier, donc. Nous grimpons au sommet. De là, nous apercevons une petite porte dans la paroi, 100 m de dénivelé plus bas. (Le complexe fortifié du Balcon de Marta)
Nous pénétrons dans l’entrée d’un souterrain, en partie obstruée par la neige.
Ca descend en pente douce, puis 326 marches, bien raides. Des galeries partent sur les côtés (latrines, douches). 25 marches à remonter (dur, dur !) et c’est la sortie.
Mais pas le repos. Nous descendons une pente en herbe bien glissante pour rejoindre une hypothétique sente, loin en bas, laquelle rejoint la Baisse de Pourtiguère puis la Baisse de Chiay.
Les passages en rocher de la pointe de Lugo nous ramènent sur une crête qui surplombe le vallon du Graon.
A la cime d’Anan, nous descendons à travers prés, 400 m de dénivelé pour rejoindre la bergerie du même nom. Les pieds commencent à bouillir. Pause déjeuner. Le GR que nous avons rejoint et que nous pensions être plus facile s’avère être un sentier raide aux pierres qui roulent sous les pieds. Encore 1000 m de descente. A l’abreuvoir de la Pinée, nous prenons le vallon de Peïremont qui nous semble plus agréable et nous amène aux premières maisons de Saorge.
Encore un petit effort et nous retrouvons notre camion, un peu fatigués, mais ravis.
Une petite bière savourée à Breil, une vraie, une pression avec la buée sur le verre, clôturera ces trois jours de rêve.
Cat